Un moyen d’augmenter la complexité des pièces et de réduire les délais de fabrication.
Le secteur de la Formule 1 a été l’un des premiers à s’emparer de l’impression 3D. La technologie correspond bien à ses contraintes en termes de temps. Les écuries doivent pouvoir fournir rapidement des prototypes. Certaines écuries l’utilisent aussi pour la réalisation de pièces finales. C’est le cas de McLaren, qui vient d’annoncer avoir étendu son utilisation de la fabrication additive pour imprimer des pièces finales de sa voiture MCL32, comme des supports pour conduite hydraulique, des boîtiers flexibles pour faisceau de câbles radio et des conduites en fibre de carbone pour le refroidissement des freins.
L’écurie britannique compte également utiliser la fabrication additive directement sur piste pour pouvoir imprimer des pièces et des outils à la demande. McLaren utilise les imprimantes du fabricant américain Stratasys, avec qui elle a un partenariat depuis plusieurs années.